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L'incidence est plus faible dans les cohortes de femmes nées après 1930. Cependant, le taux d'incidence a légèrement augmenté durant les deux dernières décennies : le taux annuel moyen d'évolution est de +0,55 %. L'âge médian au diagnostic est de 65 ans et le pic d'incidence est observé vers 75 ans. Par ailleurs, le taux annuel de mortalité a légèrement augmenté au cours des 20 dernières années : le taux annuel moyen d'évolution est estimé à +0,93%. En 2000, le taux de mortalité standardisé était à 5,4/ 100 000. D'après les données Eurocare, pour les femmes diagnostiquées entre 1992 et 1994, la survie relative à 5 ans est de 44,9 % pour tous les stades confondus et les huit pays retenus. pour les femmes de la classe d'âges 15-44 ans est très inférieure à celle des femmes de la classe d'âges 65-74 ans. Pour la classe d'âges 15-44 ans, elle est proche de 2 % dès la 5 e année. L'âge au diagnostic influence plus la surmortalité annuelle précoce que la surmortalité annuelle tardive (figure
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Cependant, les enfants sourds qui ont des parents entendants ne maîtrisant pas la LSF apprennent cette langue de façon explicite [START_REF] Deleau | Surdité et psychologie : D'une approche sensorielle à une approche écologique développementale[END_REF] et l'école joue en cela un rôle important. En effet, l'article L. 312-9-1 du code de l'éducation donnait en 2005 à la LSF un statut de langue à part entière. Des outils pédagogiques ont alors émergé pour l'enseignement des concepts fondamentaux et de la langue française, à partir de la LSF et de supports visuels, à destination de tout élève sourd-signeur [START_REF] Morais | Didactique et stratégies d'enseignement du français écrit pour un public d'enfants sourds en école primaire. IIIè Rencontres Interdisciplinaires francobrésiliennes : Surdité[END_REF]. La Circulaire n° 2008-109 du 21 août 2008, relative aux conditions de mise en oeuvre du programme de la langue des signes française à l'école primaire, reconnaît ensuite la LSF comme langue de la République. Ceci permet de l'inclure dans les épreuves des diplômes officiels et garantit le droit à une éducation en LSF. La Circulaire PEJS n°2017-011 du 3 février 2017 rappelle que tout élève sourd doit pouvoir bénéficier d'un enseignement dans cette langue visuo-gestuelle, si cette langue est choisie par l'enfant et sa famille pour communiquer. Dans ce cadre, l'apprentissage de la LSF doit faire partie des apprentissages scolaires.
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Cette première étude sur l’impact du test rapide de CRP en pédiatrie ambulatoire montre l’intérêt du TDR-CRP dans la prise en charge des enfants fébriles.
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Le principal effet pathogène connu de l'élévation des taux de phénylalanine était une entrave à la myélinisation cérébrale. Or, on sait que la myéline se développe dans le SNC principalement de 0 à 5 ans. Jusqu'aux années 1980, les enfants étaient traités 5 à 6 ans puis le régime était interrompu. Quelques années plus tard, cette stratégie a été remise en cause devant la constatation de dégradation des QI de certains enfants après arrêt du régime. Des études anglaises ont alors montré que les QI étaient proportionnels aux taux de phénylalanine des 2 années précédentes et ce, jusqu'à l'âge de 8 à 10 ans . Même si une étude française a montré que 5 ans de régime aboutissent à un QI stable jusqu'à l'âge adulte, le taux de redoublement scolaire des enfants traités plus longtemps est moindre . Enfin, des études allemandes ont montré que les enfants traités strictement pendant 10 ans, avaient un niveau intellectuel et socioprofessionnel normal . La durée du régime strict est donc désormais pour toutes les équipes de 10 ans.
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Quels sont les éléments du débat?
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Tableau 4. Facteurs associés à la probabilité d'être observant (analyses bivariée et multivariée) N OBSER Régression bivariée Régression multivariée** n % Odds IC* 95% p Odds IC* 95% ratio ratio Inf* Sup* Inf* Sup* Retraité non 108 21 19,4 1 0,0018 1 oui 97 38 39,2 2,7 1,4 -5,0 2,7 1,4 -5,4 Suivi par diabétologue non 123 43 35,0 1 0,0483 oui 85 19 22,4 0,5 0,3 -1,0 Durée du diabète moins de 5 ans 74 20 27,0 1 0,0355 entre 5 et 10 ans 34 16 47,1 2,4 1,0 -5,6 plus de 10 ans 91 21 23,1 0,8 0,4 -1,6 Education thérapeutique non 161 53 32,9 1 0,0496 oui 44 8 18,2 0,4 0,2 -1,0 Insulinothérapie non 159 54 34,0 1 0,0169 oui 48 8 16,7 0,4 0,2 -0,9 Score APMG° 207 62 30,0 1,0 1,0 -1,0 0,4002 Locus Interne autonomie° 201 59 29,4 1,3 1,1 -1,5 <0,0001 1,3 1,2 -1,6 * IC :
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Les haptènes sont de petites molécules de poids moléculaire généralement inférieur à 1000Da qui peuvent interagir avec les macromolécules biologiques pour former des liaisons plus ou moins fortes . Ces liaisons, encore appelées liaisons chimiques, résultent d’interactions électroniques entre les atomes et sont principalement caractérisées par leur niveau d’énergie qui représente la stabilité de la liaison . Généralement on distingue les liaisons dites faibles, qui mettent en jeu des énergies comprises entre quelques joules et 50kJ par mole et qui sont donc facilement réversibles, des liaisons dites fortes qui ont des énergies supérieures à 200kJ par mole et sont donc très stables.
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Dans la nouvelle loi, le patient conserve le choix entre une transmission par l’intermédiaire d’un praticien qu’il choisit à cet effet ou l’accès direct aux informations sur sa santé. Le patient se rend alors à l’hôpital et consulte les documents de son dossier médical. Il peut demander la délivrance de photocopies, celles-ci étant à sa charge. Il peut aussi demander au médecin ou à l’administration hospitalière l’envoi des documents de son dossier médical. Les délais donnés aux professionnels de santé pour répondre à la demande du patient sont précis : un délai de réflexion de 48 heures, puis un délai de huit jours pour l’obtention des informations sollicitées. Ce délai est porté à deux mois pour les informations du dossier médical datant de plus de cinq ans ou quand la commission des hospitalisations en psychiatrie (CDHP) est saisie. Effectivement, la loi a prévu des modalités particulières pour la psychiatrie pour les seuls patients en HDT ou en HO : dans ces cas, le médecin responsable de la prise en charge du patient peut imposer l’assistance d’un médecin, mais il est à noter que celui-ci est désigné par le demandeur. Si le patient refuse cette modalité, la CDHP est saisie et tranche ; c’est notamment dans ce cas que le délai est porté à deux mois pour la consultation des éléments du dossier (Tableau 2) .
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L’accès direct au dossier médical
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